Critique – Warm Bodies: Renaissance
Synopsis :
Un mystérieux virus a détruit toute civilisation. Les rescapés vivent dans des bunkers fortifiés, redoutant leurs anciens semblables devenus des monstres dévoreurs de chair.
R, un mort-vivant romantique, sauve contre toute attente Julie, une adorable survivante, et la protège de la voracité de ses compagnons. Au fil des jours, la jeune femme réveille chez lui des sentiments oubliés depuis longtemps… Elle-même découvre chez ce zombie différent autre chose qu’un regard vide et des gestes de momie…
Perturbée par ses sentiments, Julie retourne dans sa cité fortifiée où son père a levé une armée. R, de plus en plus humain, est désormais convaincu que sa relation avec Julie pourrait sauver l’espèce entière… Pourtant, en cherchant à revoir Julie, il va déclencher l’ultime guerre entre les vivants et les morts. Les chances de survie de ce couple unique sont de plus en plus fragiles…
Warm Bodies surf sur le phénomène du livre porté au cinéma. Après Harry Potter, Twilight, Hunger Games et Sublimes Créatures, voici Warm Bodies : Renaissance.
Warm Bodies c’est la comédie fantastique par excellence. On retourne le pitch original : Une fille/garçon qui tombe amoureux d’un(e) humain(e) alors que lui/elle est une créature fantastique. Un peu à la Twilight quoi… (Ironie, c’est Summit Entertainment (le distributeur de la saga Twilight au E-U) qui distribue Warm Bodies au E-U.)
Mais, Warm Bodies, c’est surtout de l’humour et autant dire que dans la salle de projection chez Metropolitan, on a bien ris à certaines répliques.
Le jeu entre Teresa Palmer et Nicholas Hoult est assez mignon mais sans plus et j’ai eu un petit coup de cœur pour «M» interprété par Rod Corddry.
La bande originale du film est géniale. Rétro mais en même temps excellente (au même titre que «Le Monde de Charlie»).
Mais chaque film a des erreurs (ou pas).
Le scénario est bien mais certains éléments du film auront pu être un peu plus développé.
Warm Bodies n’est pas un chef-d’œuvre mais se révèle être un très bon divertissement.
